MON REFUGE

 merci pour vos petits commentaires

 mais je serais encore quelques jours absente

 vos passages font  chaud au coeur

je pense à vous

jusqu'au 26 AOUT

bonnes vacances 

gros bisous à vous tous

http://yvelinesylvain.centerblog.net/

merci Yveline et  sylvain Bisou

Aujourd'hui jeudi 17 juin,
 nous fêtons les Hervé 
Le dicton du jour :
« Temps de Saint-Hervé n'est pas toujours mauvais. »
L'événement du jour :
1967 : La Chine fait exploser sa première bombe à hydrogène

Dans les rues de La Tour du Crieu, les voitures paralysées par la couche de grêle

Quarante centimètres par endroits ! La grêle est tombée en abondance hier vers 16 h 30 à La Tour du Crieu et Verniolle. En même temps qu'une pluie violente à Pamiers.

Un violent orage de grêle s'est abattu hier en fin d'après-midi sur l'Appaméen, plus exactement sur les communes de Verniolle et La Tour du Crieu, qui ont été les plus affectées par cette colère du ciel. C'est vers 16 h 30 que le ciel, qui de toute évidence cherchait à faire des siennes depuis le début d'après-midi, s'est terriblement obscurci sur Pamiers et en direction de Mirepoix.

Une bande de quelques centaines de mètres de large, sur quatre ou cinq kilomètres de long. Le type même de l'orage localisé, tout à fait imprévu. Mais si l'orage a épargné une partie de la ville, il s'est abattu avec une rare violence sur la zone de Carrefour, à nouveau inondée comme en pareil cas, obligeant à fermer aussi la circulation sur la route de Belpech en raison du passage sous la « quatre voie » entièrement sous l'eau.
Des rues bloquées par la grêle !

Mais c'est à Verniolle et La Tour que le spectacle était le plus saisissant ! Hier vers 17 h 30, les habitants étaient tous dehors, qui avec des pelles, des balais, des seaux, pour déblayer tout ce qui était tombé du ciel avec tant de générosité. Pas moins d'une quinzaine de centimètres de grêle à Verniolle, vint par endroits, où un habitant occupé à balayer son devant de portes se rappelait qu'il y a quatre ans, il en était tombé également un bon paquet, en revanche avec des grêlons bien plus gros, ce qui n'était pas le cas cette fois. A La- Tour- du --Crieu, il est tombé par endroits, en quelques minutes, une bonne trentaine de centimètres de grêle, voire quarante. La boulangère n'en revient pas : « Vous ne le croirez pas si vous voulez, je ne pouvais plus ouvrir la porte ! ». Plus loin un couple écope dans sa maison car l'eau y a fait une entrée en force. Ici aussi c'est une exceptionnelle chorégraphie : on déblaie à grands coups de pelle, de seaux, on en revient pas d'une telle chute : « Il faut voir comment c'est tombé, c'est incroyable » Des rues du village sont obstruées par des voitures qui ne peuvent plus circuler sur la grêle.

Entre la Tour et Verniolle, la route est quasiment coupée par l'eau. Tout autour la campagne est blanche comme en plein hiver. Quelques cultures céréalières auront certainement souffert de cette avalanche. Hier soir, tout le monde avait les pieds trempés et gelés à Verniolle et La- Tour et comme le disait un des habitants du lieu, quoiqu'avec le sourire : « En voilà une que la météo n'avait pas prévue !

e moulin de la Tuque participera à la journée des Moulins ce samedi avec des animations prévues ce dimanche.

Deux moulins, peu éloignés l'un de l'autre, sont implantés sur la commune foulayronnaise. Situés sur la route de Monbran, on nomme aussi cet axe la route des moulins. Si celui de Talives, après un début de restauration et plusieurs animations, a connu l'embellie, depuis quelques années, il est en sommeil à l'image de l'association qui le faisait vivre. Battrait-elle de l'aile ? Un peu à l'image de ses ailes qui n'ont pas résisté à une seconde restauration. Victimes de la première tempête, ses ailes venaient d'être remises en état. La seconde ne les a pas épargnées. Toute la procédure doit être refaite. En revanche, le moulin de la Tuque est toujours dans le… vent. Son propriétaire, Rémi Gastou, a l'habitude de le faire vivre. Il ne rate pas une occasion pour montrer le mécanisme lors d'animations. Les 18 et 19 juin, il participera à la journée des Moulins. « Comme chaque année à pareille époque et pour la douzième fois, le moulin de la Tuque à Monbran ouvrira ses portes. Ce monument de 1753, restauré à l'identique, produira la farine pourvu qu'Eole lui donne un petit coup de… vent », présente Rémi Gastou. Restauré sur une propriété privée, le meunier offrira, dimanche 20 juin, la possibilité de pique-niquer sur place pour profiter du site. « Le groupe vocal Oratorio débutera les festivités dès 9h30 par un tour de chant puis on pourra effectuer une promenade à dos d'âne et faire l'achat de produits du « musée du pruneau ». Vent et soleil seraient les ingrédients indispensables », ajoute Rémi.
Demandez le programme du week-end

Programmées de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures, ces journées, organisées par l'Association des amis des moulins de Lot-et-Garonne (ADAMLG), auront lieu le week-end des 19 et 20 juin. A cette occasion, tous les moulins du département de Lot-et-Garonne seront ouverts gratuitement de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures.

Cette année, le rassemblement de toutes les confréries invitées s'est fait au camping des 3 Vallées, à l'entrée d'Argelès. Après un (petit) déjeuner copieux et savoureux, tous les participants se dirigèrent vers la villa « Suzanne », point de départ pédestre de ce chapitre. L'ensemble des sociétés, en grande tenue d'apparat et dans l'ordre prescrit par le protocole, s'ébranla par la rue du Capitaine-Digoy en direction de la place de la Mairie et bifurqua vers l'église, premier point de rendez-vous de la journée. Saint Pierre et saint Saturnin se languissaient de voir tant de monde réuni. L'édifice était quasi complet. Sous la direction du père Mérillon assisté du père Vignes et du diacre Cyril, l'office pouvait débuter après avoir écouté religieusement les Montagnards argelésiens. À cette heure, la voûte résonne encore de leurs chants.

La messe dite, les confréries, toujours en ordre, rejoignaient le mail et s'installaient face au podium, dressé pour les intronisations, au cœur du marché artisanal et traditionnel. Les cinq nommés et intronisés sont : le capitaine Pichery, commandant de la brigade d'Argelès ; Georges Timmerman et Christiane Bayet-Timmerman, citoyens belges qui n'auront pas voté chez eux ; Armand Mutio, d'Anglet, et Liliane Martin, de Saint-Sauveur-d'Aunis.

Les marraines et parrains étaient là pour confirmer leur nouvelle appartenance et leur devoir de défendre la Garbure d'Argelès. Pour sceller la chose avec le public présent, un apéritif fut servi et apprécié par les becs fins. La chose sérieuse, enfin, arrive. Plus vite descendue que montée, la rue du Capitaine-Digoy n'a aperçu qu'une volée de capes, trop lourdes et trop chaudes aujourd'hui, se hâtant vers les tables installées chez « Mounard ». Il est des sujets qui n'attendent pas et qui obtiennent, curieusement, un consensus universel. Allez, à table !

on poil peut être brun, noir, marron. Elle a un corps trapu, les oreilles rondes. La marmotte a des membres courts et puissants avec une longue queue. Sa taille est de 46 à 66 cm et elle pèse de 2 à 9 kilos. On l'appelle le siffleur car quand il y a un danger, elle siffle pour donner l'alerte aux autres marmottes, qui vont se réfugier dans leur terrier. Elle vit de 4 à 10 ans en captivité et de 4 à 8 ans en liberté.

La marmotte est caecotrophe, c’est-à-dire qu'elle digère deux fois ses aliments en ingérant certaines de ses propres crottes. En Europe, la marmotte adulte pèse de 4 à 8 kilogrammes (vieux mâles) et s'accouple au mois de mai. Sa gestation dure 33 ou 34 jours alors qu'une portée peut compter 3 ou 5 petits[1].

et  voila la perturbation arrivant du sud est

il pleut maintenant  

 le temps  change vite en montagne

toujours en direction de cauterets

a comparer avec celle de ce matin

photo prise toujours du même endroit